Boris VALLAS, Coordinateur pédagogique au Greta des Hauts-de-Seine – Session effectuée dans le cadre du programme régional de formations vers l’emploi : « Grâce à la Région Île-de-France et à l'Union européenne, on a la possibilité de faire accéder à un public très motivé cette formation de qualité qui permet de faire vraiment ce métier selon un projet solide. L'Union européenne et la Région Île-de-France permettent d’offrir des places à des candidats qui n'auraient pas la chance de faire cette formation qui n'est pas conventionnée habituellement. »
Yaël ROSSARD-MORDEHAI, Étudiante en CAP Pâtissier : « Je voulais intégrer le CAP pâtissier tout simplement parce que j'ambitionne de créer mon entreprise et de devenir biscuitière et pâtissière. J'ai 50 ans, c'est une reconversion professionnelle. Le dernier poste que j'ai occupé, j'étais directrice des relations entreprises. Je manageais une équipe de neuf personnes. Et puis ça faisait 25 ans que je nourrissais le rêve de créer mon entreprise. Donc j'ai décidé de tout quitter pour intégrer le CAP Pâtissier. »
Rania SAIED, Formatrice en pâtisserie : « Le but de la formation, ce n’est pas que faire des pâtisseries, mais comment faire des pâtisseries. Ils font de la technologie par exemple, ils font de la science appliquée, ils font des mathématiques, anglais, français, et à part ça, ils font des stages. »
Boris VALLAS : « Pour l’Île-de-France, l’enjeu c’est d’avoir toujours des professionnels en pâtisserie qui puissent travailler dans les différents domaines de la pâtisserie. Parce que la pâtisserie, ce n’est pas seulement le petit magasin du coin, c’est aussi les restaurants qui ont besoin de pâtissiers pour faire des desserts. Ce sont des salons de thé. C’est ce qui donne envie de venir aux touristes en France. »
Yaël ROSSARD-MORDEHAI : « Ce que je retiens de cette formation, c'est un enseignement de qualité. Les stages qui nous permettent vraiment de mettre en application ce qu'on apprend en cours, d'apprendre d'autres techniques et évidemment des rencontres. »
Boris VALLAS : « On forme des groupes de douze maximum et on arrive à 100% de résultats positifs tous les ans depuis des années. Donc on est assez fiers de cette formation. »